Y a-t-il une
justice ?
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Septembre 2002
bonjour
J'ai lu divers témoignages et me suis apercue que je n'étais
pas la seule à souffrir des désordres de la justice. Pour
ma part, je vis un divorce très conflictuel depuis deux ans et
je viens de prendre connaissance du jugement qui m'a complètement
déstabilisée tant il est injuste.
En 1997, j'ai rencontré un homme qui a tout fait pour que je
croye en lui, il a voulu un enfant et moi j'étais dans cette
période ou avoir un deuxième bébé ne me
dérangeait pas (j'avais déjà un garçon de
3 ans d'une première union qui s'est fini pratiquement à
la naissance du bébé). Donc un an après notre rencontre
j'ai eu un autre garçon, et mon ami a voulu même insisté
pour qu'on se marie, je l'aimais et il semblait y tenir beaucoup, alors
fin 98 nous nous sommes mariés. Et fin de la même année
nous avons changé de département car il voulait partir
en bretagne. On a loué la grande maison qu'il voulait, pris les
animaux qu'il voulait, enfin je lui ai dit oui à tout. Mais l'arrivée
en Bretagne a été pour moi un choc, l'homme que j'avais
connu doux, tendre, attentionné est devenu absent, faineant (peu
après notre rencontre il m'a dit avoir perdu son travail mais
travillait comme indépendant). il jne s'occupait plus des enfants
et moi je restait enfermée dans une grande maison à faire
uniquement les tâches ménagères et m'occuper des
enfants.
Deux ans après, j'ai rencontré un couple, on est devenu
amis et la femme était très proche de moi (amitié
comme si on était des soeurs) et son mari s'entendait très
bien avec le mien. Mon mari a emis le souhait d'avoir un autre enfant,
devant son insistance j'ai accepté et deux mois après
j'étais enceinte. toute heureuse de lui annoncer, il m'a dit
avorte je n'en veux plus. Cela faisait trois mois qu'on connaissait
le couple d'amis, et mon mari a commencé à déprimer
il passait son temps chez cette femme (le couple allait très
mal) un jour il m'a annoncé que le mari avait trompé sa
femme et qu'il devait la protéger, elle était mon amie
alors j'ai hébergé cette personne, me suis occuper de
leur 4 enfants et tenu sa maison propre, et surtout maudissant son mari
de ce qu'il avait fait. C'était sans savoir la vérité,
en réalité mon mari et elle étaient amant, lorsque
mon mari a déprimé c'était pour aller la retrouver,
c'est pour cela qu'il ne voulait plus d'enfant, elle est même
venue me voir chez nous pour me dire d'avorter, que je ne pourrai rien
contre eux. J'ai décidé de me battre plutôt que
de m'effondrer devant une telle catastrophe. Mon mari a quitté
le domicile conjugal 15 jours plus tard disant qu'elle était
la femme de sa vie. Je me suis retrouvée seule avec une maison
impayée de loyers (il disait prendre l'argent pour el faire mais
le gardait pour eux), deux enfants en âge jeune (5 ans et 2 ans)
et enceinte de deux mois. Et une foule de crédit qu'on venait
de prendre à sa demande mais sur mon compte car lui était
surendetté et sans compte. (60 000 francs environ) et une facture
d'EDf de 17 000 francs. J'ai du vendre ma voiture pour rembourser le
solde du crédit et payer une partie des autres crédit
et la note de l'edf. J'ai été expulsée en plein
mois de novembre et ai du d'urgence retrouver une location à
moindre cout pour moi et les enfants. J'ai entamé une procédure
de divorce pour faute et abandon de famille, mon mari n'ayant aps apprécié,
a commencé à me harceler moralement, me suivre, me laisser
des mots de menace (jamais signés), ma fait couper le téléphone
dans notre ancienne location, a essayé de me discréditée
dans la nouvelle auprès des voisins, il a deménager et
je pensais être à l'abri, mais comme aucun ne travaillait
ils passaient leurs journées à me suivre, à m'insulter
dans les magasins mais toujours sans aucun témoin. Ma grossesse
a été très dure et le bébé aujurd'hui
le fait ressentir. J'ai accouché seule d'une fille sous césarienne
(mon mari m'ayant agressé physiquement le bébé
du coup s'était remis en siège), ils m'ont persécuté
jusqu'à la clinique. Durant ces deux années cela a été
appels de menaces de mort, espionnage de ma vie privée, problème
lors de l'échange du droit de visite...etc..
Toutes les plaintes ont été classées sans suite.
Les gendarmes ne veulent plus me voir ayant d'autres choses à
faire. Mon avocat s'est désisté du dossier au bout d'un
an, arguant un manque de confiance mais elle s'était fait agressée
au tribunal par la maitresse de mon mari et a eu peur. J'ai du en urgence
en retrouver un autre, que j'ai du payer car perte de l'AJ même
si le désistement n'était aps de mon fait. Celui que j'ai
trouvé n'est jamais là, ne m'a jamais directement consultée
pour établir le dossier, et tout simplement repris le dossier
de son collègue.
Aujourd'hui ej suis accusée d'adultère, car en voulant
protéger mon enfant de ses deux fous, le juge a estimé
que n'ayant pas fait reconnaitre l'enfant j'étais donc une mauvaise
épouse et avait fauté avec le mari de la maitresse de
mon mari, car l'avocat de mon mari a écris que j'avais une liaison
avec cet homme et que j'avais jeté mon mari dehors et lui avait
fini par se faire consoler dans les bras de cette femme. il est vrai
que après un laps de temps j'ai renoué contact avec l'époux,
et c'est ainsi que j'ai appris la vérité, nous somems
devenus amis et je l'ai aidé dans son divorce pour se défendre
(je me sentais responsable de ce que mon mari lui avait fait, plus d'emploi,
ne pouvait voir ses enfants, plus de logement). Je n'ai jamais caché
notre amitié, mais dans les deux divorce le juge a estimé
que nous étions amants et que els torts étaient partagés,
que concernant les harcèlements physiques et moraux ce n'était
pas vrai et que rien ne prouvait que c'était mon mari le responsable.
J'ai aussi perdu pour le paiement des dettes pour lesquelles je suis
toujours la seule à payer le juge n'a fait aucune décision
la dessus estimant que mon mari était finalement le malheureux
et que je devais assumer ma faute. Mon avocat a les documents du divorce
en sa possession depuis fin juin et moi je n'ai encore rien eu, juste
un coup de fil comme quoi il s'estimait heureux du résultat (je
suis accusée à tort d'adultère, je perd la pension
compensatoire et la demande de droit de visite dans un lieu neutre a
été refusée). Je ne sais plus quoi faire.
Dois je faire appel et faire reconnaitre mon enfant par son père
(alcoolique et fumeur de substance illicites, j'ai des témoins
mais aucun ne veut faire d'attestations) J'ai demandé une enquête
sociale mais pas jugée utile. J'ai déjà tant de
mal avec le droit de visite et d'hébergement avec notre premier
enfant. D'autant que depuis notre séparation il s'est mis bien
avec le père de mon aîné (qui avait pourtant porté
plainte pour menace de mort contre lui un an plus tôt), tous deux
cherchent par tous les moyens à me casser, leur voeu est de m'anéantir
(ils ont cherché une personne pour me tuer) ou de me mettre en
prison (je suis actuellement sous le coup d'une accusation et d'une
mise en examen pour détournement de fonds d'il y a 10 ans alors
que c'était du travail au noir masi je n'ai aucune preuve de
ma bonne foi et mon mari est témoin que j'ai reconnu devant lui
avoir fait un détournement et est du côté de la
partie civile). Comment peut on faire pour arrêter cette descente
aux enfers que je vis chaque jour.
Aujourd'hui je n'ai plus d'argent, je paye avec mes allocations les
dettes, je risque une condamnation pénale, nous aviosn créé
une association d'équidés que j'ai du mettre au secret
pour en pas qu'il les vende en boucherie et il les recherche à
nouvea, de même qu'il ne paie pas de pension alimentaire depuis
un an mais malgré les plaintes aucune suite non plus.
Lui vient
de créer une société mais se dit insolvable, il
avait un dossier de surendettelent non fini quand on s'est séparé
(il voulait me mettre moi et les enfants dedans après notre mariage,
j'ai refusé).
Et j'ai perdu mon divorce parce que je n'ai pas apporté de preuve
de son adultère malgré des lettres écrites par
lui et elle, les seuls témoins refusent de m'aider par peur de
représailles. Le juge lui a pris en considération mon
adultère uniquement parce que ma fille n'a pas été
reconnue. Ai je un recours ? dois je changer d'avocat et faire appel
(mais je n'ai aps de moyens financiers) je suis allée voir une
association pour les femmes mais elles n'ont rien pu faire pour moi,
à chaque fois même réponse vous avez un avocat voyez
avec lui, masi l'avocat se fout de mon dossier.
J'ai été un peu longue mais j'ai essayé de tout
raconter.
Quelqu'un pourrait il m'aider à y voir plus clair.
j'ai
bien reçu votre réponse, oui vous pouvez afficher mon
message ainsi que l'e-mail.
En ce qui concerne le cidf, j'y suis allée à celui de
Lorient et réponse, on ne peut rien pour vous...
Aujourd'hui je suis dans l'orne, mais un échec est suffisant,
je pensais que la distance calmerait les esprits, erreur c'est encore
pire qu'avant et toujours personne pour m'aider.
Merci d'avoir pris le temps de me lire.
x.emmagr@laposte.net
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