Qui peut m'aider
à trouver justice ?
Email
en pied de message
Janvier 2005
j'ai été
internée (après avoir été battue par mon
amie) psychothérapeute, ex-épouse de médecin psychiatre,
2 jours après avoir acheté une maison en indivise avec
elle.
Celle-ci m'a frappé pendant 4 ans et demi et elle me fait passer
pour une folle qui délire et s'automutile.
Les juges ont écarté toute recherche de vérité.
Apparemment ses mensonges sont efficaces puisque aucun élément
ne peut étayer un quelconque déséquilibre mental
de ma part, bien au contraire.
Par contre, j'ai de nombreuses pièces de dossiers qui montrent
que la psychothérapeute est mythomane manipulatrice sadique brutale
et perverse etc…
Elle a fait rédiger des témoignages mensongers par des
patientes, mais surtout elle est protégée par un patient
en longue thérapie, ancien patient de son ex-mari psychiatre,
qui venait régulièrement avec un chauffeur en 607 grise.
J'ajoute que la psychothérapeute exerçait dans notre maison.
En 1997,
J'ai rencontré cette femme dans le milieu lesbien de la région
parisienne avec qui j'ai partagé une relation sentimentale.
J'ai été la première à être charmée
par son pseudo-charisme.
En 1998, j'ai été opéré d'un grave cancer
qui m'a laissé en séquelles physiques une cicatrice de
25 cm sur l'abdomen et des troubles physiologiques suite à l'ablation
d'un rein et de la vésicule biliaire.
Ce problème de santé altérant bien sûr mes
facultés de défense.
Tandis que mon agresseur est très nerveuse et a une force musculaire
extraordinaire.
Mon amie
en question m'a alors conseillé de partir dans une région
où le bon air me serait bénéfique.
Celle-ci trouva une maison bien située dans la région
de ------qu'elle connaissait bien et me laissant l'espérance
qu'elle était animée de nobles sentiments à mon
égard et se présentant en protectrice bienveillante, j'ai
accepté d'acheter une maison avec elle en indivise.
Nous avons signé cet achat conjointement le 23 avril 1999.
Mon amie exerçait dans cette maison sa profession de psychothérapeute-sexothérapeute-hypnothérapeute
(non médecin).
Mais seulement
2 jours après la signature de ce bien, cette personne s'est montrée
très violente avec moi et c'est devenu une habitude, se sentant
insoupçonnable et intouchable grâce à sa profession.
C'est ainsi que rentrant seule d'un restaurant vers 22 heures 30 ce
25 avril 99, elle qui m'avait déjà giflée l'après
midi, m'a frappée sauvagement après m'avoir jetée
au sol.
Voulant appeler la police avec mon téléphone portable,
elle me l'avait arraché des mains et au bout d'un certain temps,
elle avait elle-même appelé un médecin qu'elle abusa
par son vocabulaire scientifique en lui donnant une version ahurissante
des faits : que je faisais une crise et que je voulais me balancer dans
la cage d'escalier.
Au lieu de m'écouter, ce médecin généraliste
fort de son inexpérience en psychiatrie et très rassuré
par la plaque professionnelle de la Psychothérapeute Professionnelle
de la Santé Mentale, appela aussitôt une ambulance pour
m'emmener aux Urgences Médicales de l'Hôpital.
J'ai été retenue dans le service de psychiatrie contre
mon gré 36 heures, avec pour seul soin d'urgence une boîte
de pastilles pour ma gorge à la sortie car j'ai été
jetée dans un cachot pas chauffé sans water-closet, ni
eau.
J'étais moi seule défigurée par les coups. L'autre
personne n'a reçu aucune réplique et n'avait aucune marque
de coup.
Le médecin qui m'a fait interner sous l'article 333.2, m'a dit
lors de mon appel téléphonique le 3 mai 1999 " je
veux bien croire que je me suis fait abuser, j'espère que vous
ne porterez pas plainte, j'en ai pas dormi pendant des nuits "
A partir
de ce jour, j'ai été régulièrement battue,
humiliée, diffamée sans que mon agresseur n'en soit inquiétée
si ce n'est par 2 petites contraventions pour violences devant témoins
mais sans circonstances aggravantes d'après les juges et pour
lesquelles, elle a bénéficié de l'amnistie.
Celle-ci avançant depuis mon séjour aux urgences psychiatriques,
que je lui en fais voir de toutes les couleurs, car j'ai des troubles
psy et que les nombreux (et explicites pourtant) certificats médicaux
sont le résultat de mon automutilation.
(Plus qu'absurde !) et j'en ai 29. la 1ére année, elle
me frappait aussi au visage.
D'ailleurs on peut lire ses dénonciations calomnieuses, dégradantes,
humiliantes sur l'enregistrement de ses procès-verbaux et main-courantes.
J'ai dû
moi-même me soumettre à une Expertise Psychiatrique le
2 12 2001 (qui m'est très favorable) puisque Mr le procureur
à qui j'avais réclamé dans plusieurs courriers
de nous faire passer cet examen à nous deux pour permettre de
lever le voile sur sa perversité et mettre en lumière
la vérité, n'a pas jugé utile de le faire. L'autre
personne bien sûr n'ayant jamais réclamé cet acte
de procédure.
La perversité
de cette personne, portée à un niveau exceptionnel va
jusqu'à inverser, inventer et mettre en scène des histoires
les plus noires ; Ainsi, je me suis vue accusée un 23 9 2001
de l'avoir menacée de mort avec un coupe-papier (M.C n°2001/012344,
P.V 4705, classée sans suite tellement incohérent) mais
sans aucun préjudice reconnu pour moi, pourtant c'est moi qui
ai produit un certificat médical avec des hématomes énormes
(13 cm).
et ce n'est pas tout.
Elle maîtrise extraordinairement bien l'art du mensonge et excelle
tout aussi bien dans l'art de la manipulation et est apparemment très
convaincante.
Après avoir commencé à soutirer des faux témoignages
de sa subalterne femme de ménage, la voilà arrivée
à faire mentir ses patients en longue thérapie.
Tout en essayant d'extorquer à mon propre entourage des témoignages
dévalorisant pour moi.
Un médecin psychiatre de -------à qui j'étais allé
me confier, m'avait dit que c'était une grande déséquilibrée.
Insatisfaite
de mon court internement, cette personne m'a menacée par la suite
de me faire interner d'office par ses relations professionnelles.
Celle-ci ne gardant pas toujours le secret professionnel, j'en déduis
qu'il est flagrant que celle-ci bénéficie de grâces,
grâce à son patient en longue thérapie, bien placé
sur le plan professionnel et que j'apercevais régulièrement.
Même si je comprends bien que la difficulté est de taille,
quand il s'agit en plus de violences entre 2 femmes, en plus du sexisme
et de l'homophobie, il est clair que je suis non seulement victime d'incompréhension,
mais d'injustices.
Il n'y a jamais eu d'instruction , ni d'enquête.
-les Magistrats me déboutent en se contentant de dire "
pour des motifs pertinents " " pourquoi le Docteur mentirait-il
? " " pas de circonstances aggravantes, car Mme X conclut
à " plus de concubinage " et " ce n'est pas l'amie
qui m'a fait interner " et me refuser l'application de l'article
472, pour " mauvaise volonté commune "
Décision injuste et aberrante !
Tout relève d'un parti pris injustifié que je dois dénoncer.
-Il y a aussi un magistrat qui a déclaré en Audience Publique
" que toute plainte venant de moi sera classée sans suite,
ce qui fut repris dans la Presse, ainsi que l'impatience de la Présidente
du Tribunal qui supporte mal les " disgressions de mon avocat "
qui n'a pas de mal à démontrer que l'amie psychothérapeute
est hors norme.
-Une présidente de Cour d'Appel me reprochant " mes petites
histoires "
-J'ai donc été déboutée de ma plainte contre
le Docteur qui m'a prescrit l'article 333.2 et contre l'amie pour violences
aggravées et la Cour m'a honoré du paiement des frais
de justice du Docteur (soit 3600 euros, avec saisie sur ma banque et
sur ma voiture)
Un an et demi avant le jugement pour la maison, un visiteur était
sorti de son bureau de consultation en disant : " le doyen des
Juges a dit…. "
-Et aussi, pour avoir former un pourvoi en cassation, on m'a refusé
l'aide juridictionnelle et notifié un pourvoi non admis en ce
qui concerne mon pourvoi contre Mme la psychothérapeute.
-Lors d'une Consignation, alors que je ne perçois qu'une toute
petite pension d'invalidité, le Ministère Public m'a demandé
1500 euros payable avant un mois et à mon agresseur 1000 euros
payable en 2 mois alors que celle-ci empoche quelque 30000 francs par
mois tout en n'étant pas redevable sur l'impôt sur le revenu.
-Elle a toutes les astuces : Elle touche même le R.M.I en ce moment.
-Devant cette atmosphère agressive à mon égard,
je me suis vue plus d'une fois refuser de mon dépôt de
plainte et être sortie du commissariat très limite par
la brutalité.
J'ai entendu aussi de la bouche de certains policiers que je n'avais
qu'à aller habiter ailleurs et travailler pour pouvoir financièrement
y subvenir.
Et puis que je pouvais me défendre puisque j'étais plus
enrobée que l'autre personne.
Sur mon répondeur téléphonique, j'ai eu les enregistrements
suivants par un policier bien bavard : " couchez la vieille "
! et s'adressant à son collègue " c'est une connasse
! " etc…
-Sans compter les réflexions complètement déplacées
et vexatoires d'une personne du Bureau d'Ordre.
-Aujourd'hui,
le Tribunal a ordonné la vente de la maison par licitation, alors
que je veux rester dedans et qu'elle peut être divisée
car il y a 3 niveaux et plusieurs entrées et j'ai produit aussi
une attestation d'un géomètre dans ce sens. L'autre partie
peut être vendue à une autre famille.
Pour ces magistrats, c'est le moyen le plus facile de mettre fin au
problème, mais pour moi c'est subir encore un autre préjudice
pas reconnu.
Et les juges m'ont encore condamné à rembourser ses frais
d'avocat et d'avoué et des dépens soit 5183,60 euros.
J'ai subi
pendant 4 ans toutes sortes de violences en passant par les coupures
d'eau, d'électricité, chauffage et télévision
et harcèlements divers.
Même auprès de l'EDF, elle était très influente
: par exemple pour faire couper l'énergie devant mon nez ou me
faire ouvrir un contrat que je n'avais pas demandé moi-même
ou faire envoyer sa facture à mon nom .
Elle se faisait même remettre mon courrier par le facteur.
Et pour
mieux me tromper, elle m'invitait toujours à la firtation. Me
disant que c'était dommage, que l'on s'aimait d'une façon
extraordinaire, qu'il fallait vivre le présent et non le passé,
que je trouverai personne d'autre et que je mourrai seule.
J'ai d'ailleurs fait établir un constat d'huissier sur ses messages
sur mon répondeur téléphonique qui démontrent
bien de son ambiguïté et sa dualité.
Je demande
la vérité et la justice sur mon histoire qui n'est pas
sans gravité et qui est très douloureuse pour moi et très
néfaste pour ma santé.
Je vous assure n'avoir jamais eu de geste agressif contre moi ni contre
quiconque et ne pas m'être beaucoup plainte par rapport à
ce que j'ai subi réellement et c'est indigérable.
Je n'ai jamais perdu le contrôle de moi-même et suis plutôt
un modèle d'équilibre, c'est ce que je montre et rien
d'autre.
Je ne l'ai jamais frappée et j'ai peur d'elle bien sûr.
Etant une femme, homosexuelle, ni psychothérapeute, ni sexologue,
je suis tout simplement victime de discrimination.
A cause de cette personne qui n'a jamais voulu faire reprendre les malfaçons
de travaux, je campe depuis 1999 entre des moisissures, des trous et
les fourreaux accrochés au mur, sans réception de télévision
et vis misérablement maintenant, ayant épuisée
mes économies.
Pourtant je vous assure avoir droit au respect.
J'ai perdu l'un de mes 2 enfants en 2003, ma mère en 2004, mais
je garde la force de me battre contre tant d'injustices et pour les
autres aussi.
J'espère que mon courrier retiendra votre attention et que vous
pourrez m'aider à faire éclater la vérité.
Je pourrai vous communiquer toutes mes pièces de dossier.
-Je voudrais que ma bonne santé mentale soit reconnue
-Et que l'importance de mon préjudice soit reconnue à
juste titre
-Faire honte à ces professionnels de la santé et de la
justice pervers ou négligents et que l'Etat reconnaisse ses fautes.
Je vous assure que ces faits sont entièrement réels et
véritables.
Il y a des délits classés sans suite non prescrits pour
lesquels je voudrais relancer une plainte.
Il me faudrait un bon avocat. Comment peut-on m'aider?
Je vous remercie à l'avance. Me répondre à : Justicia35@aol.com
Bonjour,
Vous êtes à la fois victime d'une manipulatrice perverse,
de diverses discriminations et d'une série de dysfonctionnements
tant de la justice que de l'institution hospitalière ... Cela
fait vraiment beaucoup et il me semble qu'il y a largement matière
à procédure ...
L'activité de psychothérapeute d'une part et de sexologue
ou sexothérapeute est très mal réglementée
en France, lire
ici sur notre site. N'importe qui peut l'exercer et certains charlatans
et autres pervers manipulateurs s'y entendent très bien. Les
deux ne sont donc pas incompatibles ... (Attention, il existe nombre
- sinon le plus grand nombre - de psychothérapeutes parfaitement
sérieux et convenablement formés et supervisés,
psychiatres, psychologues ou psychanalystes.)
Sur les aspects strictement juridiques, je vous conseille de prendre
contact avec la juriste du Centre d'Infos sur les Droits des Femmes
le plus proche. Adresse : http://www.infofemmes.com/Adresses.html.
Une juriste vous recevra, étudiera votre situation, vous conseillera
utilement. Eventuellement, elle vous indiquera un-e avocat-e. En fonction
de vos revenus (ils semblent peu élevés), les frais pourront
être pris en charge par l'aide juridictionnelle. Vérifiez
ici http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F18074.xhtml
Les plaintes classées peuvent faire l'objet de recours si les
délais de prescription ne sont pas dépassés, notament
en portant à nouveau plainte directement auprès du doyen
des juges d'instruction : vous devez obligatoirement vous constituer
partie civile et un dépôt de consignation vous sera réclamé
mais il peut également être pris en charge par l'aide jurictionnelle.
Une instruction sera nécessairement ouverte.
Sur les aspects liés aux discriminations, je vous recommande
de prendre conseil auprès du Centre Gai et Lesbien http://www.cglparis.org/
D'autres liens en rapport avec l'homosexualité ici
sur notre site.
De tout coeur avec vous ...
Cordialement,
Yves Lambert
|