Je
suis accusée de tentative d'homicide avec préméditation
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Novembre 2005
Je me trouve
actuellement accusé de tentative d'homicide avec
préméditation mais souvent les victimes ne sont pas celles
que
l'on croit.
Je viens de passer les trois derniere années de ma vie a me
faire insulter rabaisser humilier isoler frapper par un homme
qui se disait aimant dévouer.
Un homme qui est je l'ai compris bien trop tard, narcissique,
manipulateur, psychopathe, paranoîaque et pour compléter
très
violent.
Au début de notre relation il a su decouvrir la femme sensible
fidele que j etais et a tres bien su en jouer.
Tout a commencer par des scenes de jalousie assez bannales que
nous les femmes nous justifons par des preuves d amour
Il s est tres vite installé chez moi ce qui me ravi a l epoque
car je cherchais une certaine stabilite sentimentale surtout
qu il a su se montrer impeccable a tout les niveaux serieux
fidele... Petit a petit il m a elloigne de ma famille qui
tenait un café et que j allais aider de temps en temps, il ne
supportait pas qu un autre homme me regarde avec envie car
pour lui un homme regarde toujours une femme avec des arrieres
pensees. Donc par amour j acceptais sa demande et n allais
plus aider ma famille . Puis il s en pris a mes amies qui
etaient soit disant de mauvaises fréquentations car elles le
draguaient ou m entrainaient . Je vous passe les détails par
lesquels il en est arrivé a ses fins. Une fois qu il m' a
isolé de tout les cotes il a commencer a influencer une sorte
d emprise psychologique de facon a ce que je pense que ses
optiques etaient realite. Toutes les sorties que nous avons
faites ont tresmal finies biensure a cause de mon comportement.
La premiere fois qu il ma frappé c etait pour le premier an
2003. Alors qu il avait organisé un restaurant densant, juste
avant de partir il m accusa d avoir une relation avec une
certaine personne, alors meme que nous nous ne connessions pas
. Je l aurais evidemment avouée si cela avait ete le cas mais
il n en etait rien je niais, mais il ne me cru pas. Alors qu
il venait d etablir un climat conflictuel je refusais de
sortir . Mais il insista et me forca a sortir.Arrivé au
restaurant il commenca a m insulter de tout les noms et je
quitta la table en pleurs. Il me rattrappa furieus et me
rentra de force dans la voiture toujours en m insultant de
plus en plus enerve car je m etais soit disant donnee en
spectacle devant du monde qui le connaissait. Dans les cris un
coup parti et fit ricocher mon crane contre la vitre. Je mis
ma main a l'endroit de l impacte et m apercu que je saignait
mais cela ne l inquieta pas pour autant. Arrivé a la maison il
s' excusa pleura et me dit qu il ne comprenait pas qu il
puisse en arriver jusque la mais que s'etait parcequ il m
aimait plus que tout et qu il ne supportait pas qu un seul
homme puisse lui parler de moi sans qu il soit au courrant .
Alors qu au début de notre relation il m avait demandé
toute
les relations que j avais put avoir et on pouvait les compter
sur une seule main.
Bref par la suite, il m accusa une fois de plus d avoir des
relation avec un autre toujours dans le passé, je niais une
fois de plus, mais plus je niais plus il s enervait les
premiers coups me fut portais sur le cranes, il me disait qu
il savait frapper sans laisser de trasses, pendant 48 heures
il ma frappé, il avait fermé a clef et tout les volets
pour m
empecher de partir j etais extenué il mobligé a l ecouter
m
insulter et me frapper , il a meme fini par m imbiber de
petrole me serrant par le col de mon chemisier et me menacant
avec un briquet sur le visage pour que je lui avoue ce que je
n avais pourtant pas fait.Par peur je me suis meme a moitier
uriné dessus immaginez dans quel etat je me suis retrouée,
J
avouais et il se calmais alors pensant qu il etait redevenu
calme je lui disait que j avais peur et que ce que je venais
de dire n etait pas la realite et s etait reparti. a cet
instant je priais dieu pour qu il se calme, je n en voyais pas
la fin alors je suis parti dans la salle de bain m enfermer a
clef avec un couteau pour en finir. Il a defonsé la porte,
lorsqu il avu tout le sang il ma bander le poignet et a appelé
les pompiers qui m ont amené aux urgences(5 points au poignet)
Lorsque je suis rentre il s est evidemment excuse il
pleurait...Je ne comprend toujours pas actuellement pour
quelle raisons je ne l ai pas quitté a ce moments peut etre
par amour je ne sais pas.
Mars 2004, je trouvais un emplois comme agent commercial.
Toujours suite à ses crises qui en devenaient paranoïaque,
sur
mon propre lieu de travail il me fit renvoyer. Même mon patron
avait voulu le rassurer en nous convoquant tout deux et en lui
expliquant qu’il n’avait rien à craindre quant à ma fidélité,
mais ce fut cause perdue. J’appris par la suite que j’étais
enceinte il voulu le garder. Une fois il croisa un ami que
nous avions en commun, cet ami venait d apprendre que nous
etions ensemble et lui dit que j etais une fille super sympa
et nous invita a passer le voir lui et sa femme que je
connaissait egalement tres bien.
Il est rentrer a la maison me raconta la rencontre et m
accusais d avoir eu des relation avec cette personne car ce n
etait pas normal pour lui qu il nous invite
Je subit alors une averses d 'insultes et de coups tres
violents alors meme que j etais enceinte; il m entourra le
ventre avec une ceinture et me souleva par celle ci alors que
j etais allongée sur le lit essayant de me proteger des coups.
Chaque crises etaient toujours plus violentes une autre fois
il m a enfermé dans le coffre de la voiture me disant qu il
allait m amener me faire avorter ( car je lui avais dit que je
n etais plus usre de vouloir garder l enfant etant donné la
situation) a l etranger il m a frappé a plusieur reprise avec
le cric puis s est calmé et ma ramené a la maison.Plusieurs
fois il me menacait avec un couteau sur le ventre une fois
meme avec une fourche tout en simulant qu il allait me planter.
Il m a accusé d avoir allumé son frere car je prenais
soit
disant des pause aguichante par exemple lorsque je croisais
mes bras c etait pour mettre me poitrine en valeur. Pour s'
excuser d une de ses crises il voulu partir en espagne en
voyage organisé, j acceptais alors que j entendais au fond de
moi une petite voix qui me disait ni va pas, bref alors que
je me suis endormis sur un transat apparemment je regardait
un homme qui etait de l autre cote de la piscine, j ai passé
l
apres midi a me faire frapper dans la chambre d hotel le
lendemain j etais couverte d hematomes sur tout le corps.. Je
n’ai jamais voulu porter plainte ni même le dire à quelqu’un
car il menaçait de tuer moi et tout les membres de ma famille.
Ma grossesse à été très difficile, étant
donné le climat de
peur, de stresse permanent. Il ne m’a jamais accompagné au
échographies, car il ne supportait soit disant pas voir le
docteur me toucher le ventre. J’ai accouché seule le 19
Novembre 2004 à la clinique , pendant qu’il été
entrain de
s’acheter une veste en cuir dans un magasin.Janvier 2005, nous
sommes partis au Maroc, il m’a une fois de plus frappé et
insulté, là devant le bébé, il a même
jeté un biberon en verre
contre un miroir qui s’est brisé ; avec les éclat de verre
il
menaçait de me crever les yeux. Lors de notre retours à
l’aéroport, nous avons pris un taxi pour en changer, il m’a
accusé en sortant du véhicule d’avoir « allumé
» ce sont ses
termes, le taxi-man en le regardant par le rétroviseur. Il m’a
alors arraché l’enfant des bras, m’a insulter devant tout le
monde et me demandait de partir et me débrouiller menaçant
toujours de me frapper. Je suis partis aux toilettes
m’effondrer en pleur désespérée.Il m’a fait appeler
au micro,
demandant de le rejoindre, m’a rendu mes papiers d’identité
mon billet d’avion, mais refusait de me donner mon fils.
Arrivée à Blagnac j’ai voulu prendre un taxi car je savais
qu’il allait encore me frapper, il m’en a évidemment empêché
et m’a rentré de force dans la voiture dans laquelle il m’a
frappé à plusieurs reprises toujours devant l’enfant.Le
lendemain matin il a recommencé, alors que je tenais mon
enfant dans les bras, m’ étranglé puis m’a frapper sur
le
crâne avec un biberon en verre plusieurs coups refusant que je
pose l ‘enfant et disant que s’étais de ma faute si le petit
prenait un coup. Quand il s’est calmé, il m’a dit qu’il allait
partir au Maroc avec l’enfant et que je ne le reverrais plus
jamais, puis il est parti. J’ai alors appelé ma mère,
pour
m’enfuir avec mon fils. J’ai porté plainte pour coups et
blessures. Le fait qu il m empeche de poser mon petit coeur a
ete le declic qu il s'en prenne a moi etait une chose mais pas
mon enfant, il a reconnu aux services de polices qu il m avait
frappé mais pas avec l enfant c est donc ma parole contre la
sienne.Je me suis cachée pendant deux semaines chez une amie,
pendant lesquelles j’ai engagé un recours en justice pour
avoir la garde exclusive de mon fils, prétextant la violence
de son père. Il n’a pas arrêté de harceler ma famille
par des
centaines de coups de téléphones anonymes (sans exagérer),
par des poursuites en voiture, et sur leur lieu de travail, au
café.J’ai énormément culpabiliser de faire vivre
tout cela à
ma famille et ai décidé de trouver un accord avec lui
en
présence de toute sa famille, qui soit disant passant était
de
mon côté connaissant le caractère perturbé
de Monsieur. Nous
avons alors décidé qu’il quitterait mon appartement mais
qu’il
pourrait venir voir son fils quand il me préviendrait. Le soir
même je suis rentré chez mois avec ma mère car je
n’étais
quand même pas rassurée. Le lendemain, il n’avait toujours
pas
quitté les lieux, et me demanda de retirer mes plaintes.
L’après midi je parti faire les courses avec ma mère et
il
voulu garder l’enfant. Je l’appelais par téléphone pour
lui
dire que j’allais chercher des affaires de rechanges pour ma
mère afin qu’elle reste à mes cotés, il s’emporta
a nouveaux.
Je pris peur et reparti mais cette fois si sans mon fils,
qu’il avait d’ailleurs déposé chez sa mère car
il avait soit
disant des choses à faire. J’en informais sa sœur, et lui dit
que j’appellerai pour récupérer mon fils. Pendant deux
semaines il interdit à toute sa famille de me rendre mon fils,
j’avais peur de sa violente réaction si j’allai le chercher
moi même.Puis, un jour il appela mon père, lui disant qu’il
acceptait de me rendre l’enfant si en contre parti on ne
l’empêchait pas le voire. Il accepta que cela se fasse par
l’intermédiaire de mon père car il m’était douloureux
de
rentrer en contact direct avec lui. Au bout de deux semaines
je pu revoir mon fils. Je m’aperçu qu’il avait glissé
une
lettre dans les langes du petit pour s’excuser de m’avoir fait
subir tout le mal qu’il avait fait.Il récupéra mon fils
un
week-end puis voyant que je n’avais pas répondu a sa lettre,
il refusa de me rendre mon fils, prétextant que c’était
avec
moi qu’il devait régler les affaires du petit et non avec mon
père qui était soit disant raciste. Je n’ai alors pas
pu voir
mon fils pendant les mois de mars et avril, alors qu ‘il
continuait son harcèlement téléphonique et que
sa famille
s’occupait de mon fils m’empêchant tout contact sous les
menaces de Monsieur.Le 4 Avril, le jugement pour la garde eut
lieux, le lendemain Monsieur appela ma mère et voulu rendre
mon enfant avant même qu’une décision de justice soit rendue.
Il s’excusa pour la énième fois de tout ce qu’il avait
fait à
ma famille et moi et qu’il regrettait sincèrement, ma mère
accepta et récupéra mon fils et toutes ses affaires.J’ai
alors
gardé mon fils toute la période qui suit jusqu aux derniers
évènements, après la décision de justice
concernant la garde
de mon enfant, il n’a pas pris mon fils un seul week-end qui
lui été accordé.A la mi-mai, j’ai pris un appartement
en
centre ville dans lequel j’ai autorisé monsieur à venir
voir
notre enfant, ce que je n’ai pas tardé à regretter car
il est
redevenu si ce n’est encore plus violent, insultant devant
l’enfant. Il m’a volé les clefs de mon appartement et s’y est
installer de force comme à son habitude toujours aussi
menaçante. Je m’étais inscrite au concours de contrôleur
du
trésor public mais il n’est pas évident de travailler
avec
quelqu’un qui passe son temps à vous insulter …J’ai ensuite
reçu la convocation au tribunal pour les coups et blessures
dont j’avais été la victime, ce qui la mit dans une grande
colère contre moi ; il voulait que j’aille la retirer de
n’importe quelle façon car dans le cas inverse ça irait
très
mal pour moi.J ai evidemment paniquer sous ses menaces car je
ne met pas en doute ses paroles et je sais qu un jour il en
finira avec moi (ce n est pas de la paranoîa). A ce moment je
ne voyais pas comment m en sortir j etais enfermee dans la
terreur je ne savais plus quoi faire et un jour j ai voulu en
finir mais jai pensé a mon enfant et au lieu de me tirer une
balle dans la tete j ai tiré a coté de lui pour lui faire
peur
et qu il comprenne qu il fallait qu il parte de chez moi. Mais
il a bouge et a recu une balle dans le bras. Quand j ai
realisé que je l avais touché, je l ai desuite emené
aux
urgences jai voulu aller me dénoncé aux services de police
mais il ne voulait pas il me disait de la fermer et qu il ne
voulait pas porter plainte. De là les services hospitalier ont
refusé de me laisser partir car ils me trouver dans un etat de
grande mélancolie d apres leurs termes ce qui etait le cas, j
etais absolument choqué par ce que je venais de faire.
J ai ete hospitalise pendant une dizaine de jour. Il est venu
me voir au debut pour me dire qu il ne voulait pas porter
plainte si je venais vivre chez lui (chez ses parents) mais qu
il fallait que je fasse une croix sur ma famille car s etait
soit disant elle qui me montait contre lui mais
malheureusement ce n est pas ma famille qui ma fait vivre un
calvaire elle a juste voulu me proteger quand elle a appris
tout ce qu il m avait fait endurer.Et si je ne tournais pas le
dos a ma famille il fairait en sorte de me pourrir la vie et m
empecherait a jamais de revoir mon fils.Par la suite j ai
evidemment refuser sa proposition ainsi que tout contact avec
lui. J ai raconte toute l histoire a la psychiatre qui ma
enormément aider en me disant que je n etais pas folle qu il
ne fallait surtout pas que je cède a son chantage car pour lui
c etait sa facon de me tenir .J ai ete entendu par les
services de police qui m ont appris son passe tumultueux
(drogue, fausse monnaie, violence,4ans de prison...) Tout cela
s est passe au mois d aout, c etait sa soeur qui s occupait du
petit car je l avis appeler a l hopital pour qu elle vienne le
chercher je ne voulait pas le confier a ma famille qu il
aurait une fois de plus harcelé. Depuis il interdit a sa
famille de me donner des nouvelles de ma seule raison de vivre
mon fils, je ne peus pas aller le chercher meme si j en ai la
garde legale ; car je suis passée devant le juge d instruction
qui voulait me mettre en mandat de depot pour tentative
d'homicide mais le juge des libertes a refusé mais sous
certaines conditions a savoir :
ne pas quitter le territoire
venir signer au commissariat tout les mercredi
ne pas rentrer en contact avec monsieur ni aucun membre de sa
famille
Deplus il a ma voiture qu il refuse de me rendre (je dois
payer toutes les contraventions qu il provoque), il continue
son harcellement telephonique et je me suis apercu a plusieurs
reprises qu il me suivait avec ma propre voiture lors des
quelques deplacements que j effectue.Il passe devant le café
de ma famille et leur fait des gestes obsènes avec la bouche
pour vous dire le personnage
Actuellement cela fait 2 mois que je n ai pas vu mon fils et
je ne sais pas quand est ce que je le reverrais surtout si je
vais en prison; car pour la justice meme s il reconnaisse que
monsieur est un audieux personnage cela ne justifie en aucun
cas le fait que je lui tire dessus, sinon toute les femmes
battues n ont qu a tuer leur epoux, c est vrai mais je ne
voulais pas le toucher
Un educateur et un psychiatre ont ete mandate pour effectuer
une enquete sociale pour la garde de mon fils mais monsieur
est tres fort pour parraitre normal, je leur ai biensure
raconter toute l histoire ils me dise que mon acte est
independant de la garde de mon fils fils et qu aucun fait ne
demontre que je puisse etre dangereuse pour mon fils mais qu
il est sure que cet acte restera un point d interrogation pour
les juges.
J ai 25 ans , mon plus grand souhait serais de recuperer mon
fils et pouvoir vivre mon role de mere mais actuellement cela
me parait impossible, je ne sais pas comment je vais pouvoir m
en sortir, pouvez vou m aider, m orienter ou me soutenir, mais
ce n est pas la principale raison pour laquelle j ecris, cela
me soulage et surtout je voudrais que cela puisse servir d
exemple a certaines femmes qui peuvent rencontrer des debut de
cas similaires et se reveiller a temps
Merci, je vous autorise apublier ce message
tarte.fraise@laposte.net
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