Ne
vous taisez pas ! Parlez ! Email
en pied de message Janvier 2006 J'ai
58 ans, il y a 40 ans j'ai été violée par un de mes beaux-frères,
quand j'ai voulu le dire à ma mère, elle m'a dit : "tu te
tais, pas de scandale, si non je te mets au couvent" aujourd'hui, le secret
de famille ressort au grand jour en raison de l'une de mes nièces qui a
subie des attouchements.Maintenant, on sait qu'elle n'ait pas la seule dans la
famille Une de mes soeurs "M", qui à 18 mois de plus a subi
la même chose, mais à ses 21 ans, elle a quitté la maison
avec mon aide, puisque j'ai commencée à travailler à 18ans.
Ma mère s'est débrouillée pour que je ne puisse pas partir. Aujourd'hui,
on me rend responsable de tout ce qu'a fait mon beau-frère, et deux clans
se sont formés. Ceux qui veulent parler sans ménager ma mère
qui a 87 ans et ceux qui veulent la préserver. Je ne me situe dans aucun
des deux cas, avec ma soeur "M", nous estimons que toutes les deux notre
mère nous a considérer comme des parias et qu'aujourd'hui chacun
son problème, quand on a demander de l'aide on nous appris pour" 2
fabulatrices."Ma vie en ai été gachée et aujourd'hui,
je suis une femme brisée par 2 viols, l'autre par mon 1er mari avec violences
conjugales, coupset blessures (1 mois de coma) normal dit ma mère "tu
as mauvais caractère" Alors, je vous en supplie, même
si c'est dur d'en parler, ado, femmes, je vous en supplie PARLER, vous avez
la chance que l'on puisse vous aider à avoir une vie meilleure que la nôtre. Ma
fille qui est assistante sociale dans le secteur psychiatrique qui donc l'a
su récement, m'a dit:"maman, aujourd'hui je comprends toutes des dépressions
et tu as le profil de la "femme violée" dans les deux cas. Je
me suis remariée il ya 19 ans, mon actuel mari, m'a aidé comme il
a pu, et lui ayant interdit de parler c'est ce qui m'a sauvé. Si on vous
tend la main ne le refusez pas, aujourd'hui, nous avons les moyens et la chance
d'être aidée. Actuellement, je passe une phase assez dure, puisque
il n'y avait que ma soeur, mon mari et" ma très et chère tendre
mère" qui le savait car s'était tellement enfouie, cela m'a
fait l'impression "d'une bombe intérieure" quand l'une de mes
soeurs est venue me voir, pour m'en parler et me dire qu'elle me croyait et me
soutener et regrettes que je lui en ai pas parler plus tôt.Maintenant,
on peux pas revenir en arrère, j'entame une nouvelle psychotherapie. Merci,
à toutes ces femmes qui ont eu le courage d'en parler et de mettre en oeuvre
ces réseaux. rjc1@club-internet.fr |