Elle est décidée à divorcer [...] et pourtant
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en pied de message Novembre 2012
Bonjour, Je
rencontre beaucoup de problèmes depuis un certain temps, voila mon
mari a perdu son travail et depuis 2ans, il me fait vivre un enfer,
j'ai une petite fille de 7 ans, récemment j'ai décide de le
quitter, et ça grâce a l'aide de personnes(un équipe) du centre
médical psychologique de L., en G., il m'ont redonné confiance et
aussi m'ont aidée a réfléchir a ma situation, sans me
juger, aujourd'hui après lui avoir annoncé(a mon mari) que je le
quitte, il est pire qu'avant, ça se soldé par une agression, mes
voisins on appelé la police, mon mari qui est malade du coeur et il
aussi un handicap a la jambe gauche, du a la polio, a fait croire aux
gendarmes que je lui ai porte aussi des coups, je suis dégoûtée
de la manière comme il se défend, en retournant la situation, alors
je suis allé porter plainte, et il a été convoque, quelques jours
plus tard, c'est a mon tour, je suis convoquée a une médiation à
la gendarmerie, alors que c'est lui qui m'a violentée, je me sens
seule dans cette situation, pas encore de logement, puisque pas trop
de ressources, mon assistante social m'aide comme elle peu,c'est
long, j'ai besoin de savoir si je suis obligé a me présenter
a cette convocation, alors que je refuse de accepter leurs
conclusions, (comme si nous nous étions battus tous les deux)
la procédure de divorce n'a pas commencé, j'ai demandé l'aide
juridictionnelle et l'avocat attend la réponse, a croire que je dois
arriver chez les gendarmes la tète en sang pour qu'ils me prennent
au sérieux. d'autre part vous pouvez si vous le souhaitez,
publier ce mail, sans ma signature qui se trouve en bas merci a
votre équipe et à vous meme
M
Bonjour, Nous
allons publier votre message dans notre espace échanges afin que
d'autres viennent peut-être vous soutenir. Je suppose que vous
êtes d'accord pour que cette adresse-mail anonyme soit apposée? Je
vous conseille vivement de vous rendre à cette convocation à la
gendarmerie ; en effet, il s'agit d'une suite logique de la
procédure, qui vise à entendre les protagonistes afin de mieux
cadrer la situation ; en aucun cas, vous ne devez vous sentir à la
place de "l'accusée" et votre présence permettra au
contraire, d'éclaircir les zones d'ombre si besoin. Soyez ferme
et déterminée dans votre expression sans oublier de signaler que
vous êtes décidée à divorcer. Cependant, comme vous avez une
petite-fille ensemble et même si vous ressentez beaucoup d'amertume
face au comportement de votre conjoint, tentez de faire en sorte que
la situation ne s'envenime pas plus car il faudra l'aménager pour
que votre enfant puisse continuer à "profiter" de son père
et de sa mère dans les meilleures conditions. Mentionnez aux
gendarmes le fait, que vous avez déjà fait appel à une équipe
sociale qui vous soutient car le problème des violences de votre
époux ne date pas d'aujourd'hui, ce qui justifie d'ailleurs votre
décision de divorcer à l'origine de la colère de votre
mari. Restez digne et ne vous laissez pas déstabiliser par le
comportement des gendarmes. Je reste à votre disposition.
Cordialement,
Chantal
POIGNANT
Agent
de conseil
Bonjour, Merci
de m'avoir répondu aussi vite, En effet je suis allé voir la
gendarmerie, et il s'agit bien d'une plainte que mon mari a déposé
contre moi, je suis donc convoqué devant un juge avec mon mari
pour une médiation. le gendarme m'a conseillé de me rendre le 27
novembre a cette convocation, même si ça me semble aberrant de me
trouver en situation d'accusé en non pas de victime il à dit aussi
que ils sont obligé de accepter ça plainte , j'ai eu connaissance
du contenu, il dit que j'ai le bousculé, il présente des
égratignure sur le coude gauche, il à dit aux gendarmes que je
n'arrête pas de provoquer ça colère(si j'avais fait ça je serais
pas la en train de vous écrire, provoquer la colère d'un homme ivre
est fortement déconseille) il à réussi a avoir un itt de 3 jours
par son médecin généraliste,de mon cote, je suis aller voir un
médecin légiste, qui a confirmé l'agression, j'ai aussi vu un
juriste, elle me dit de revenir voir les gendarmes s'il recommence,
même les insultes, je veux juste qu'il me laisse tranquille, que je
puise partir des que je trouve un logement, je commence a avoir
espoir, des connaissance de l'école de ma fille a qui j'ai parlé,
m'ont proposer de l'aide, et il veulent me soutenir, il suffi par
fois d'oser parler, et ne pas avoir honte, si je peux me permettre de
le dire a toutes celles qui se sentent seules, sachez que vous l'êtes
si vous ne parlez pas..... osez!! je me présenterai a cette
convocation et je vais expliquer la situation, le mensonge ne peut
pas durer long temps, un jour ça va lui tomber dessus. j'ai
confiance. Amicalement, M. vous pouvez donner mon adresse
mail bien sur!
* aspiley@gmail.com
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