Quand le mari
est policier ...
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Bonjour
!
Le 22/07/2000, je déposais plainte contre mon mari à la
Gendarmerie de ** pour coups et blessures. Cinq jours plus tard, je
demandais le divorce.
J'ai eu un mois d'ITT, l'auteur a été identifié :
c'est mon mari. Le délit a pu être constaté :
photos dès le lendemain, plusieurs certificats médicaux
attestant de multiples hématomes, contusions.
Par une ordonnance de non conciliation, la juge aux affaires familiales
m'a accordé le domicile conjugal - pendant 3 mois et demi
j'ai vécu chez mes voisins, puis je suis partie en
gîte rural - et condamné mon mari à 5000 F
de pension alimentaire.
Mais je viens d'apprendre que le procureur avait classé ma plainte
sans suite.
Il est bien évident que je n'en resterai pas là et que
je porterai moi-même - avec le soutien total et entier de
mon avocate - l'affaire en correctionnelle.
Ah ! mais j'oubliais un détail qui doit avoir son importance ...
MON MARI EST POLICIER ! OPJ Lieutenant 7ème échelon !
Il y a peut-être là une cause à effets. Qu'en pensez-vous
?
Je souhaiterais pouvoir dialoguer avec des femmes qui ont été
ou sont dans ma situation.
J'ai besoin, pour étayer un dossier déjà volumineux,
de cas similaires au mien, de jurisprudences.
Je compte beaucoup sur vous.
D.
J'ai suivi
vos conseils et voici mon e-mail anonyme : drogheda.anonyme@laposte.net
A bientôt et merci pour votre aide.
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